La sève de ta plume irrigue les veines de mes mots.
Semés à la volée au fil de mes pensées, les animant de vie.
Que d’amour bercé par cette mer de Chine,
aux flots si agités a nous faire chavirer.
Sur son onde, portés, naviguons au gré des alizés,
parmi nos rêves insensés de jardins parfumés,
de corps entremêlés repus d’amour et de bonté.
Nos visages souriants aux dieux si bienveillants,
nos esprits apaisés dans ce havre de volupté ,
nous invites à ne pas s’éveiller ,
y jeter l’encre* pour s’y abandonner.
Phildor
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie