Joli poème, Islander!
Mais les oiseaux sont plus débrouillards qu'on ne le croit...
pour trouver un creux ou un abri pour se blottir...
Et il y a plein de bonnes âmes qui accrochent des boules de graines
dans les buissons... un vrai resto du coeur pour les oiseaux!
Le Parc près de chez nous est rempli de perruches vertes qui se sont
bien acclimatées au froid...
et merci pour ton grand coeur de poète!
Capucine