ELLE...

"Les jours semblent plus doux et plus sucrés depuis que je t’ai rencontré.
Mes nuits sont hantées de tes soupirs, de ton désir et je ne peux que succomber.

T’aimer je le voudrai, mais voilà, on s’y refusera.
J’aimerai pourtant rien qu’un instant te dire tout bas

Que tu es celui que j’attendais, celui que j’aimerai à travers les âges
Impossible de s’aimer quand la distance et les bagages mènent au naufrage.

Notre vie doit-elle se résumer uniquement à des moments volés,
Des baisers et sourires échangés au coin d’une rue, cachés…

Je ne peux m’y résigner, mais pourtant le bien est fait
Et je ne voudrais jamais te voir t’éloigner de moi une seule journée.

LUi...

Je ne plus passer aussi quelques secondes
Sans savoir quels pensées t'inonde

La distance de notre corps n'est rien
Car notre coeur ne fait deja qu'un

Apprecions ces moments volés comme tu dit si bien
Car certain m'ont jamais ces petits moments calins

Je ne peut tout quitter pour venir te rejoindre demain
Mais je peut tout les jours venir te faire du baise-main

Voila cet histoires n'est qu'imaginaire et irréelle
Mais j'ai aimé te le dire ma douce, ma belle....

elle
elle a de la chance
d'avoir un ami qui pense
a elle

lui
il a toute une vie
devant lui
et un amour ancre
a la maison

superbe poeme laurent ne t'arrete jamais d'ecrire, car si je ne suis qu'une oasisienne, tu fais vibrer mes sens toujours

Lentement on se prend à rêver
comme embarqué avec ces deux êtres,
pour la vie peut-être ?

Très joli ( mais dérangeant ) aussi ce :
"pourtant le bien est fait" d'une formule
inusitée ( pour moi ) derrière laquelle le
mal est tapi.

des mots qui me parlent, perso .......................................

et meilleurs voeux à toi !

avec l'imaginaire on peux crer une vie qui nous parait impossible,rien que pour gouter au bonheur juste un moment ,merci LOLO de ce beua tableau que tu as su déssiner.bravo
amitié pour toujours
HOURIA

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Aimer jusqu'à la déchirure Aimer, même trop, même mal, Tenter, sans force et sans armure, D'atteindre l'inaccessible étoile.

.(jacques brel)