Un bout de moi...
Voici un bout de moi…Ce texte seras la préface de mon premier livre que je suis en train de rédiger, une biographie tout en poèmes que j’intitulerais « Ma vie sur la toile ».
La fée de l’ombre,
Ceci est une histoire,
D’une vie, d’un passé, d’une destin,
Vous n’êtes pas obligés d’y croire,
Elle est dotée d’un début mais pas de fin…
Le vécu d’une fée dans l’ombre,
A l’aurore d’une matinée innocente,
Son chemin à la destinée sombre,
Elle est née d’une union, une envie passante,
Deux corps enlacés, dégageant une odeur de sueur,
Sans amour, juste un désir de chair,
Créant la vie ainsi sans pudeur,
Cet automne là , elle devenait « mère ».
Une petite fille ouvrait les yeux sur le monde,
Sa naissance ne fut point l’événement tant attendu,
Sans nom, déjà sa génitrice eu l’esprit vagabonde,
Comportement que seulement les autres Ă©mut,
Nameless pendant six jours,
Prénom à l’avant propos,
DĂ©finitivement glamour,
En ces temps là numéro un à la radio,
Non loin de là se tenait son père,
Dans ses mains un présent pour les deux femmes,
Pour elles il Ă©tait revenu de la guerre,
Mais il ne vit jamais sa fille, son cœur pleurait des flammes,
De ce jour s’annonçait une vie en perdition,
Dépourvue d’amour coulant de source maternelle,
Remplie d’envie et de passion,
DĂ©pourvue des mille promesses belles,
Et trente cinq ans plus tard,
Une femme se dresse toujours les yeux sur ce vide monotone,
Tout en haut de son imaginaire phare,
Se demandant encore pourquoi elle as ouvert les yeux sur ce jour d’automne,
Dans son corps la douceur règne,
Dans sa tête tout est embrouillé,
Mais bien souvent c’est son cœur qui saigne,
Sur l’enfant qu’elle ne fut jamais,
Une larme sur sa joue sillonne,
Ses erreurs sont le fruit de l’inconscient,
Elle as fait pleurer quelques hommes,
Sans famille, ses sentiments appartiennent au vent…
Elle est un livre ouvert,
Dans ses yeux brillent ses secrets,
Sa mère point exemplaire,
Dans ses yeux…le lac aux regrets,
Une vie dans le doute,
Maintes mots que mensonge,
Ne pas savoir la mène à la déroute,
Cet Ă©ternel mal qui ronge,
Et un jour elle a sue,
Eut toutes les réponses à ses questions,
La femme qu’elle était…profondément déçue,
Etait incapable de pardon.
Dans les ténèbres des océans,
Elle cherche la paix,
Dans les yeux de ses enfants,
Elle cherche se qu’elle ne trouveras jamais,
Des blessures trop profondes,
De la lame aiguisée qu’est « sa vie »,
Le sang coule sur ses bourreaux de leurs insultes immondes,
Pourtant elle n’est plus à leur merci,
Pourquoi autant de doutes ?
Pourquoi cette rancune ?
Sinueuse est sa route,
Qu’elle partage avec sa plume,
C’est un chemin,
C’est un destin,
Une envie de partager,
Une envie de me vider…
Et ĂŞtre enfin en paix,
Avec moi mĂŞme,
Et les autres,
Avec mes enfants, à qui j’ai donnée la vie à mon tour,
De l’amour que j’ai pour eux je veux enfin ouvrir cette porte,
Qui me mèneras vers le bonheur,
Mon bonheur,
Leur bonheur…
Vous ne seriez sans doute pas surpris d’apprendre qu’une fois mon ouvrage terminé c’est à eux que je le dédirais…
Mes quatre anges, mon espoir…ma vie.
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La plume est la langue de l'âme.
[Miguel de Cervantès)