Alors que mon amour pour toi frôle l'incandescence, et que tes lointaines caresses deviennent braises et lames de sabres, je te vois comme un joli cristal, un délicieux jus de mangue, un tendre rocher, une étoile à portée de main. J'aimerais madame, vous envoyez des calices, vous dire des paroles au miel, et constituer l'essence qui vous ferait avancer, ou bien devenir votre essentiel, mais comme je suis trop souvent absent, et que vous ne savez pas que vous êtes ma muse, vous cherchez l'affront, mais êtes consciente que les étoiles n'use pas de la défiance contre les flocons.
Laissez moi seconder votre coeur rubicond, laissez moi boire le nectar de votre amour, laissez moi vous rendre lunaire, vous mon soleil, laissez moi épicer les salades que l'on raconte sur ma personne.
Sensible mais non sans cible, voilà que je pars en quête, mon pas battant le pavé, de nouveaux horizons. J'aimerais distinguer un manoir, et dans un silence que rien ne viendra perturber; même des quelconques borborygmes; je souhaiterais écrire, en noble magnanime mes conquêtes passées. Il m'est impossible de retranscrire le calibre de mon désir amouraché, mais je peux vous susurrer; sans jouer comme on le fait avec l'hombre; que vous serez toujours mes seules victuailles.
Quand le «tu» vois dans sa psyché qu'il n'est qu'un «vous», c'est comme si il voyait le gel devenir magma. Entre désillusions et tristesse profonde, il sombre dans l'abîme.

Là, c’est trop beau, sensible à souhait,
Il y a longtemps que tu n’avais ouvert ton cœur sans se pessimisme et cette tristesse que je ne voulais pas créditer….
Moque-toi de la mesquinerie, reste tel que tu es. Aie confiance en la vie et au bonheur…

Merci beaucoup. Que deviens-tu?

Je me promène de poème en poème, pour apposer mon petit grain de sel….

Mais qui es-tu?

Comme tu le dis si bien : « ta hantise ! » (je ne fais que du " copier coller" ).