J'écris ces mots
Bien loin de vos idéaux
Et du fond de mon tracas
L'injustice s'encrasse.

Je pénètre la foule folle
Pour entendre claquer tes créoles
Dans la délivrance de ma passion.

Il est grand temps, par de faux fuyant,
D'ebreuver légendes et récitals chantant
Et nourrir le feu des volcans de vulcain;
Qui s'enivre de larmes de lave dans des vers d'étain.

Eole s'engouffre dans ton corps sage
que la vie attire, même celle des sages
A caresser tes hanche offertes à la lumière
Qui délivre la vie à cet enfer.

Tout est féminin, déliée et présente
De la punition aux baisers salés
Sur mes lèvres osées
Ceux qui me font enfin rêver.

J.V

Dans ce tourment de mots magiques..j'ai aimé :
Les baisers salés...qui te font réver..!

toujours cet amour brûlant, toujours ces sentiments flamboyants. quand donc s'apaisera le volcan ?

Alejandro

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

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J'aime beaucoup les baisers, et... les créoles

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Un poème, où certaines idées sont suggestionnés.. ce dont je raffolle! Merci de ce beau partage.. amtiés.

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Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.

C'est une danse où les mots denses ne sont pas des mot maudits.
merci et mon amitié.

Capricorne