je ne l'ai pas apprivoisé ce silence
sonne les heures dans la même cadence
je suis je crois je pleure et je pense

il est parti résolument trop loin me blesse
ce tourment cet amas de fausse tendresse
et tous ces gestes de maladresse
je suis je demeure et je reste

mélancolie illusions peurs et paresse
j'ai oublié les gestes de tendresse
la douceur d'une simple caresse
ces malheurs m'oppressent
j'ai senti cet oiseau blessé naguère
et peur dans mes prières fatalité
drôle de liberté pourtant réalité

c'était pas ce qu'il fallait c'est sûr
pourquoi la vie devient un mur
et les gens idiots si durs
je ne l'ai pas cru parti dans l'oubli
sans une larme sans un pli

et pourtant
il fait soleil dans leur vie...

le silence est parfois trop bruyant dans un monde peuplé d'idiots et de sourds...

Amicalement
-CB-

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Ton poème me retient tellement !
mais on ne sait pas - je ne sais pas - pourquoi,
en tout cas, je te souhaite beaucoup de courage
et t'adresse toute mon amitié

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J'aime la poésie qui me parle et qui chante

Lire plusieurs de mes livres : récits, roman, polar, essai, poèmes :
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Anne
sous l'assaut de tes mots,ce silence sera sous peu
abattu .
Mais que d'impatience avant cela,penses-tu?
Non,chaque nouveau mot dans chaque nouveau
poème rompt ce silence.
Et alors nous t'entendons.
Déjà,certains t'attendent.