Qui sont t’ils
Devant moi le temps qui passe à très vive allure,
Et dans ma tête guérissent peu à peu mes blessures,
Même si le passé qui s’y trouve me laisse un goût amer,
Comme la moisissure d’une pomme pleine de vers.
Mais pourquoi toujours vouloir ranimer cette flamme,
Qui de ces maux vous fait souvent couler les larmes,
N’y a t’il pas plus malheureux que soi sur cette terre,
Pour tous le temps ne faire que pleurer sur sa misère.
Je retrouve tout doucement le bon et vrai cheminement,
J’ai enfouis au fond de moi tous ces sales tourments,
Toutes ces choses que j’ai faites je ne saurais les oublier ,
Toutes ces erreurs du passé je ne pourrais les réparer.
Je n’ai pas envie de nouveau retomber en dépression,
Parce que mon passé aura encore eu de moi raison,
Quand le métro boulot dodo et le volant de mon camion,
Me rappelle que j’aurais du apprendre mieux mes leçons.
Alors oui maintenant je galère pour gagner ma croûte,
Mais ils y en a tant qui dorment sur le bord de la route,
Alors je me contente simplement de ce que j’ai en main ,
Car c’est sur pour eux il n’existe plus de lendemain.
Moi je vis chaque jour comme une nouvelle Ă©preuve,
De leur propre identité ils n’en n’ont même plus la preuve ,
Et si moi avec les jours qui passent je vais de l’avant,
ILs ont juste pour dormir un simple petit emplacement..
Alors arrĂŞtons de toujours pleurer sur notre petit sort,
En pensant plus tôt que avec l’hiver ils vont dormir dehors,
Car si on mène une petite vie tranquille avec un toit,
Eux n’ont plus rien seulement grande faim et très froid…..
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