l'expression des iguanes grises de pannes ,
l'expression des pythons enroulés comme le destin,
même celle de ce varan jaune d'exister
dont l'oeil cligne comme un nuage perdu,


l'expression de ces immenses tortues
qui bougent la tête comme un cercueil extatique,
et cette plaisanterie de la nature,
cette tortue à tête de serpent qui s'étonne de l'air,


l'expression de cet alligator que tout ennuie,
exposés pour le plaisir des hommes et de l'argent,
la vie ressemble à un zoo de banlieue fade
quand on voit la nature ainsi privée d'amour.

Y'a pas de lézard, j'ai aimé te lire!
Amitiés de JP et bravo.

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Vivre ses rêves

ouais::trop vrai et un rien déprimant.amitiés

Une triste constat sur l'utilisation que fait l'homme de la nature !

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