NOTRE ADIEU
Où semble vivre mon amour ?
Dans le jour
Néfaste
Du maudit faste ?
Je t’aime tant, toi mon amant,
Qu’hélas notre duo crache sa mort.
J’ai le tort
D’apprécier encore ton corps charmant.
Notre vie commune
Dure depuis tant d’années
Qu’aujourd’hui notre lacune
Pleure ses quotidiennes journées.
Offre-moi une fleur
Mais mon conjoint tue mon bonheur.
Je suis de ces amoureux
Sensibles aux adieux
A leurs actes odieux.
Alejandro
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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".