Les leurres de la ville.
Je me suis perdu dans, toutes, celles que j’ai
rencontrées
Mais aucune, d’elles, ne s’est perdue en moi,
Impatient et pressé de m’accrocher,
A celles qui daignent me jeter un tout p’tit regard,
Aucune d’elles n’a risquées un furtif clin d’œil,
Pour ce petit étourdi aveuglé par ces minuscules
icĂ´nes,
De ces lumières publicitaires, trompeuses, des
grandes villes,
N’ayant rien compris, pourquoi tout et si joli et si
beau,
Mais aucun visage souriant n’accroche,
Aucun salut, pas de bras ouvert accueillant,
Tout et froid sans regard aimant,
Au matin de cette visite inhospitalière,
Je me suis rappel que mon jasmin a desséché
Continuer à l’arroser, c’est la moindre des pires des
choses qui puissent m’arriver.
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C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attend jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien.
r.b.