Ce matin
Ce matin j'ai l'esprit ailleurs; Pensif ! je suis là convalescent alité,
Car disons le bien cette opération du popotin me fait bien morfler,
J'écoute sur un site un chanteur que j'adore Bernard Lavillier,
Qui de sa musique rythme mes frappes de ce que sont mes pensées,
Pas morose non juste solitaire là devant mon ordinateur à décliner.
Mais avec l'impression en moi d'un manque totale d'inspiration,
De ne pouvoir vous écrire ces mots qui sont devenu ma passion,
Et je ne vous dit pas mes maux, car d'eux je crois j'ai fais rémission,
Non je suis là et non las en attendant de ma lune sa belle guérison,
Et pour mieux l'accélérer j'ai définitivement refermer le bouchon.
Mais vous parler de quoi de ma belle colombe dont j'adorais le cou!
Mais elle s'est envolée un matin et a cessé de faire battre mon pou,
Vous raconter mes dix mois d'errance dans ma cave dans mon trou!
Parce qu'un matin j'ai craqué et que je ne pouvais plus tenir le coup,
Mais franchement de ma vie comme de l'an quarante on s'en fou....
A la clinique ils ont du faire plus d'ablation qu'il n'en 'était prévue,
Un bout de mon cerveau auraient ils par erreur pris en surplus,
Car de vous décliner de jolis textes ma foi je n'y arrive plus,
J' aurai du nommer celui ci « manque d'inspiration » car je n'en ai plus ,
Il est mort le beau poète,il va ranger son encrier il n'écriras plus!
Mais non je plaisante,en fait j'écris mais mon auto biographie,
Et je ne peut vous la dévoiler avant qu'elle soit belle et bien finie,
Mais le sera elle un jour,y aura t'il une fin une dernière ligne?
En fait je ne sais même pas si j'ai envie de l'écrire pousser mes cris!
Et si j'écris de grosses âneries j'ai mal au fesse quant d'elles j'en ris.
En fait je suis simplement oisif sur mon lit regardant par la fenêtre,
Et juste ces quelques pensées traversent mon esprit ma petites tête,
Dehors le froid a remplacé le soleil l'automne a pris son air de fête,
Adieux ces belles roses si joliment perlée et ces belles pâquerettes,
Et dans un mois les arbres se sentiront si nu et l'air un peu bête.
Cette douceur à fait place à ce premier tapis blanc à ces froides gelées,
Alors je pense à vous qui les bouts de doigts complètement glacés,
De vos raclette vos pare brise vous commencez à bien gratter,
En attendant que votre frigo de véhicule commence à se réchauffer,
Et que dans quinze jours ca sera aussi à moi à six heures de me les peler.
Je pense que le printemps l'été l'automne et l'hiver passent trop vite,
Que vers la vieillesse rapidement ces saisons nous précipitent,
On a pas eu le temps de renflouer son compte de jolies pépites,
Qu'il faut déjà ressortir le sapin et les guirlandes électriques,
On a les nerf pour les cadeaux, de sa tune on as fait dont au trésor public.
Je pense à ma mutation qui ne viens pas mais que je ne lâcherais pas
A ces montagnes ou je voudrais aller pour refaire ma vie la bas,
Je pense aussi que je pense trop et que c'est pas bon pour moi,
Je vais aller me recoucher tout au fond de mes draps
Car mes neurones surchauffent alors je vais arrêter là ......
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