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Je me marre. C'est un poème comme je les aime.

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Trés belle lecture, trés beau poème !

Amitiés.

Eve-Lyne, Nadine.

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EvE-LyNe

Mon cher Grognard, pourquoi éprouve-tu le besoins d'évoquer des souvenirs d'un temps révolu car ceci ne changera rien à la modernité de ce qu'ils appellent l'amour.
HONORE

Bonjour Honoré, Hé ben! si je n'évoque pas mes souvenirs qu'aurai-je à raconter, je suis moi-même d'un temps révolu!!!

Bonjour grognard, ah ce bon temps de notre jenesse? Un peu sevré mais toujoure émerveillé lorsque je me le remémore grâce à ta jolie plume. J'ai bien aimé Archimède et pour le plaisir voici ce qui m'en reste: "Tout corps pongé dans un fluide au repos, subit une poussée dirigée de bas en haut, égale au poids du fluide déplacé!"
Et voila, j'ai vidé mon sac, ou ce qu'il en reste...
J'ai apprécié l'analyse que tu fais sur nos temps moderneset surtout la façon élégante de l'exprimer.
Mon amitié.

Capricorne

J'ai adoré... ton texte..
Et derrière tout ça.. la peur de "faire un enfant..."
Il n'y avait pas encore le Sida mais les maladies vénériennes étaient déjà là...
Oui, la pilule a changé la vie des femmes...
et la vie des femmes a changée...
Pas pour toutes hélas.. Dans certains pays..Les femmes n'ont pas encore la liberté d'aimer..
..
Alors, nous n'allons pas pleurer..sur notre chère liberté..



Magali.

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alors là je proteste !
je ne pense pas que jouer à "touche-pipi" pour éviter tout risque fut très drôle pour beaucoup à l'époque !
heureusement que la pilule est arrivée !
et que les jeunes d'aujourd'hui s'initient aux jeux de l'amour avec des filles de leurs âges et non plus avec des putes ne me parait pas plus malsain...
j't'adore Grognard "le macho"

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Calou

Quel vieux cochon ce grognard
Alors que moi je n'osais même pas
Faire le tiers de la moitié du quart
De ce qu'il faisait avec ses doigts.

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je voulais te poster la chanson de Bénabar "je suis de celle" qui aurait bien illustré ton poème... et oui, il en fallait de moins de farouche.... sacré Grognard, je ne te savais pas pianiste..

Bises mon ami Pampille

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Quand le poème a des beautés, quelques taches ne me choquent pas

wow lol il y a un sicècle que je ne vous ai pas lu

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Bonsoir Renée, Hé ben ! ça ne nous rajeunit pas tous ce temps il faut dire que nous sommes très espacés quoiqu'avec internet nous sommes plus proches les uns des autres et ce sont peut-être mes gros becs qui manquent je te les envoie et salue le Québec pour moi, Bisous...

Belle poésie romantique où toutes ces belles donzelles faisaient tourner la tête à ces messieurs! Ah! c'était certainement le bon temps car on ne parlait pas encore du sida malgré certaines maladies vénériennes!
Amitiés!
Alain