Je crois que j'étais seul , et je n'y croyais plus,
à la vie, la misère m'avait mis presque à nu .
J'étais un homme libre , je vivais sans vertu:
pour continuer de vivre , pour moi je me suis battu.
Pendant des kilomètres , j'ai marché dans l'espoir ,
que pour un peu renaitre et pour sortir du noir ,
Les larmes de mes yeux , me seraient inutiles.
pour entendre vos voix , sur la terre fertile;
comme un chemin de croix, m'emmenant à l'exil .
J'étais le seigneur, las de devoir mourir jeune,
j'étais l'éclat de voix qui me porte au limbes:
Je me suis égaré parfois pour venir geindre ,
Aux pieds de la montagne je me suis écroulé ,
j'ai vu que le prophète , m'avait bien oublié .
Alors j'ai su que l'exil était mon seul refuge,
je m'étais étalé en faisant de la luge .


Bon en principe cela devrait avoir un effet comique !

Je n'ai pas senti d'effets comiques, j'ai lu un vrai combat pour retrouver certaines vertus vitales pour continuer à y croire et à espérer... Merci pour cette lecture...

L'image de la luge renversée est p't'être ce que j'ai trouvé de plus comique... j'ai pris plaisir à lire ton poèmes travaillé aux rimes internes et c'est pas de la rigolade mon plaisir fut réel...

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poèmes de Nandy sous Copyright numéro 00047816 http://www.copyrightdepot.com/recherchesceau.htm