Un vieux carnet,
Un coutelas
Et un soulier,
Se rencontrent,
se reconnaissent,
Se souviennent…..

En moi les mots couraient dit le premier,
Les plis je découpais s´enquit l´autre,
Et en moi les hommes couraient, parfois
Pour se découper, conclut le dernier.

Tristes orphelins,
Si mal adoptés,
Pleurent un père
Qui les aima tant !

Au cimetière de leurs plus doux souvenirs
Se dresse une stèle sur laquelle on lira :
“ci -gisent, à regret et pour l´éternité,
Un papetier, un remouleur, un cordonnier”.

Mort à l´ité : L´homme est ce con qui prône la facilité en tuant son essentiel !

Tadamadon

même la mort alitée....ne saurait nous épargner .....

encore un poème subtil...à ton actif

amicalement

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Mort à l´ité : L´homme est ce con qui prône la facilité en tuant son essentiel !
j'adhère, bien qu'il m'arrive souvent de me prendre pour un vrai con!!!et j'aime les morts rats lités

une moralité tellement vraie

je voudrais mieux en comprendre
tout le sens mais je te dis bravo grand poète !

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

L'essentiel, est ce que tu penses toi, ou nous (d'eux) et pas ce qui est marqué sur leur tombes,les objets restent des objets,ils n'ont pas d'âmes

tu m'explique mieux ton poème ,j'ai mal au crane

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Moi je me demande : "est-ce qu'on" tue l'essentiel ?
Beaucoup délaissent la facilité et le prônent .
Mais tu as sans doute raison..et je n'ai pas tort ...!

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.

Superbe inspiration, bravo!
Amitiés de JP.

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Vivre ses rêves

Bravopour ce texte méditatif.

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