Moi déjà tout p'tit je savais c'que j'voulais,
J'voulais faire rêver les filles. J'voulais simplement les aimer.
Des couettes aux tabliers, d'la maternelle au CP,
Les filles d'moi, j'crois qu'elles avaient tout capté.
Cause cortisone, juste env'llopé. Pas loin d'chez moi y'avait l'collège,
Encore des filles à qui faire la bise était un privilège.
Au lycée tout continue et tout s'enchaine pour un manège,
Qui tourne encore presque à la fac où j'ai vu les vers et leur cortège.
Et là mon coeur à découvert que jamais l'imaginaire ne s'use,
Si on demande à Poésie de devenir sa muse.

Stéphane

sympa , pas con comme raisonnement.amitiés

j'aime beaucoup, ton resonnement, mais j'aime mieux tes dernières poèsies,
fais moi plaisir, donne nous quelque chose de si beaux que tu caches dans tes tiroirs

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merci pour ton passage PHIL...

Au plaisir de te relire.

Amitiés

Stéphane

contente que ta muse et toi soyez de retour