Mon sang vibre sous ma peau
Ma gorge entrave les sanglots
Mes mains contrôlent la colère
Ma respiration dialogue avec mes nerfs
Une bouffée de chaleur m’envahit
Mon visage se raidit
Mon cœur se serre
Mes yeux se tournent par terre
Incapable d’accepter l’erreur,
Les reproches sont une horreur
Mon corps ne les tolère
Le bon sens comme seul souffle d’air
Mes entrailles demandent punitions
La douleur du sentiment comme démon
Mon corps se ferme, mes pensées se terrent
Seule solution pour éviter à mon corps la guerre
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On a des mOts pour dire une peine légère,
Mais les grandes dOuleurs ne savent que se taire...