Où que tu puisses aller ...
Où que tu puisses aller,
Par les bois et par les prés ,
Je te suivrai toujours, mon amour ,
Je te suivrai toujours.
Et si tu dois t’éloigner,
Pour un temps très prolongé,
Je t’attendrai toujours, mon amour,
Je t’attendrai toujours.
Et si tu étais blessé,
Malade, ou bien diminué,
Je resterai toujours, mon amour ,
Je resterai toujours.
Et si tu devais tourner
Coléreux, mal embouché,
Je t’aimerai toujours, mon amour,
Je t’aimerai toujours.
Si ma vie devait cesser,
Sur toi, depuis les nuées,
Je veillerai toujours, mon amour,
Je veillerai toujours.
Le 30 septembre 2005
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)