Le coupable et le prisonnier


Elle virevolte aux courants de l’infini,
Exhibe son cœur de sa voix de sirène,
Etale sa torpeur pour lointain chagrin
Dans la dernière bière où se délivre son destin .

Valse à mille temps
Promenade de vivre ce temps présent
Aux odeurs froides d trépas,
Trame de sa tête, le prisonnier c’est moi.

Je m’incarne en nuages, j’en suis le page
Plus besoin d’eau, tout est un saccage,
Pas de neige, je n’ai plus froid
Ennemi ou ami, je n’en connais pas d’autres choix.

Quand je tomberai, certain me haïront
Mais en pluie fine j’humecte les buissons,
En pluie fine à faire germer les forêts,
Pour cette humanité bien désœuvrée .

Tout renaitre à la vie, même le modeste scrrabée
Entre ces feuillages pour respirer la pensée
Plus personne n’aura soif que moi
Par ce jour de pluie ouù finit une vie.

J.V

poème très troublant, je ne sais si j'en ai percé tout le sens profond.amitiés

"Tout renaitre à la vie, même le modeste scrrabée
Entre ces feuillages pour respirer la pensée
Plus personne n’aura soif que moi
Par ce jour de pluie ouù finit une vie."

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coupable d'être prisonnier
prisonnier d'être coupble
Comme aimer d'etre aimer
et vis versa



Maugui

Bel écrit... mais déroutant.
Amicalement
Magali

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nous sommes tous des gouttes de rosée emprisonnées dans un corps assailli...la vie est en nous

Amitiés

Thierry

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Ce n'est pas parceque les choses sont difficiles que nous n'osons pas, mais parceque nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.