Tiens, pour ton beau poème, la Sabine, enlevée par les Romains, te remet ce vieil hommage!!
Dis, il a grandi, le petit garçon, on te reconnaît bien!!!lol!!
Belle photo!!!
qui me dira enfin un jour comment mettre MA tĂŞte en AVATAR?????
lol
Envoyé le : 1/10/2008 0:00
Plume d'or
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En ligne A Mos, à la manière de Mos, car Mos...Fin de ma trilogie d'amitié métissée.
Entendez-vous sur la montagne fière
Il est là il arrive avec vents et bannières
Oui c’est lui le poète l’aède aux temps bénits
Il nous comble de ses milliers de paradis
Enchanteur dès l’enfance il est le mage ami
Le père attentionné et le fils si fidèle
Ses prunelles il les garde sur les siens qu’il chérit
Et ses mots s’éparpillent explosent et ensorcèlent
Il Ă©crit il compose il dirige et il joue
Chantre aux mille proses
Et gardien un peu fou
D’une ville qu’il adore et de ces mille choses
Que nous donne la vie qu’il aime à pleines mains
Il découvrit un jour le Grand Jacques au pays
Si plat que ses montagnes se sont comme englouties
Depuis il est un peu le frère de ces lointains
Il en aime la bière la vie les chansons
Et son âme fidèle a su garder moissons
De ces douceurs des Flandres qu’il emporte en Agadir
Mêlant neiges et soleils sans jamais les flétrir
Des femmes il a aimées
Des cœurs il a émus
Mais il la cherche encore celle qu’il n’a pas vue
Il l’appelle sa mie sa muse son aimée
La reconnaîtra-t-il en rêve ou au réel
Chantera-t-elle aussi de longues ritournelles
Sera-t-elle une actrice une mère une amie
Ou simplement une sœur une amante une vie
Cet homme juste et bon
Je vous le recommande
Aimez le portez le auréolez son front
Il mérite accolades youyous et embrassades
C’est de toi Mostafa que je chante les hommages
Et te remercie vraiment pour ces mois partagés
Une mer nous sépare mais nous écrivons la page
D’une indéfectible et bien tendre complicité.
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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."
Racine, "Phèdre"...
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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."
Racine, "Phèdre"...