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joli réponse , j'aime cette fraternité entre "vrais ennemis" trois litres, les soirées ne devaient pas être tristes, comme quoi on rencontre des amis là ou on s'y attend le moins, de quoi me rendre mon optimisme, mais j'adore ton histoire.A+

Comme je viens de prendre " l'armée du crime " de Robert Guédiguian en pleine mémoire, je repasserai sur ce texte.

pour les mots d' amitié, là où on ne les attend pas, c'est un sentiment tenace peu importe les barrières, elle sait les faire tomber

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poèmes de Nandy sous Copyright numéro 00047816 http://www.copyrightdepot.com/recherchesceau.htm

J'aime bien le côté humoristique de ces trois allmeands qui avaient leur façon bien à eux de crier heil Hitler.
C'était sans doute les fils spirituels d'Oscar Schindler.

Mais comment, Grognard tu n'étais pas réfractaire au STO?

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o'maley tu fais bien de parler de Oscar Shindler car à lui seul il a racheté une partie des horreurs allemandes

On peut trouver des amis là où on ne s'y attend pas du tout!La fraternité entre les hommes n'a rien à voir avec les conflits politiques et les guerres!...Ton poème me rappelle un très bon film dont j'ai oublié le titre où des soldats français et allemands fêtent le jour de l'an ensemble malgré la guerre qui, normalement, doit en faire des ennemis!!!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

Bonsoir O'maley, ils étaient quand même prudents ils ne faisaient pas cela devant n'importe qui, comment je suis devenu STO
nous étions dans un centre de jeunesse qui préservait les jeunes à partir de 14 ans ils y apprenaient un métier et de ce fait ne trainaient pas dans les rues comme je l'ai fait avant que le chef de ce centre ne m'ouvre les portes, là ,nous étions à l'abri et hors des contacts avec l'occupant, mais moi j'étais plus âgé j'avais 19 ans seul et sans logis après le bombardement de ma piaule
comme j'étais dans une position critique cet homme m'a rendu un très grand service à moi et aussi à d'autres qui, malheureusement comme moi partirent par force, il nous fallait éviter tout problème à ce monsieur surtout qu'à mon retour de nouveau il me tendit la main avec les risques que cela pouvait occasionner, au fait une chose importante nous avions des cartes d'alimentations et pour les classes 40,41;42 en mars 43 il fallait être recensé afin de recevoir les tickets avec notre lieu de résidence nous étions récupérables à tout moment ,le 1er avril nous partions. voilà maintenant à toi de gamberger si tu aurais pu faire mieux, explique le moi, j'aime à renseigner les gens qui ignorent comment cela se passait à cette époque, merci de ta curiosité, amitiés

Bonsoir à tous et merci de vos coms Amitiés

Ennemis, amis, parfois on est étonné par certaines amitiés et pourtant elles sont là, belles et vraies

Bisous Monsieur Grognard

Ghis

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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

Grognard.

Pour répondre à ton commentaire....Bien sur que j'ai fait mieux que toi pour échapper au STO!

J'ai eu la bonne idée de naitre bien après la guerre....



Ce commentaire juste pour rire bien sur. Je sais qu'il était difficile d'échapper au STO.

René Iskin, ami de Georges Brassens raconte leur vie en Allemagne pendant qu'ils étaient tous deux prisonniers au STO

Le livre s'intitule "dans un camp". Je suis sur qu'il va t'intéresser.

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Je ne connais pas l'époque, loin s'en faut; juste des bribes d'histoire racontées ça et là par mes grands-parents; je les écoute et ne juge pas, je suis incapable de comprendre ce que je n'ai pas vécu, et je sais que ce que tu racontes n'est que ce que la pudeur t'autorise à raconter, jel'ai lu dans les yeux de mon grand-père, et ça, je l'ai compris.
Merci à toi d'avoir bien voulu partager un morceau, aussi infime soit-il, de cette époque.

Alain

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c'est toujours quand il est parti qu'on se rend compte que le bonheur était là!

Salut O'maley! hé ben ! ta réponse m'a fait rire, évidemment l' idée était bonne mais trop tard pour moi l'erreur était déjà commise, il y avait bien une autre solution ne pas avoir besoin des cartes d'alimentation pour cela il fallait être à proximité d'une source et moi j'ai dû me nourrir en grappillant chez l'occupant, avec les risques que cela comportait, je crois que tu as compris,bien amicalement

J'ai beaucoup aimé ton témoignage, moi qui n'ai pas connu cette période. Merci Grognard pour ce partage! Jolie fin.

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Titie

Bonjour grognard tu nous as dépeint avec brio une période de ta vie qui malgré ses vicissitudes, ne t'ont pas empêché de nous la relater sous un aspect très plaisant. J'ai beaucoup aimé ton humour.
Merci pour ce très joli partage.
Mon amitié.

Capricorne