Chère Marie,

Voilà 2 semaines que tu es partie
Elle furent les pires que j'ai connues
Depuis ton départ à Columbia*
J'ai mis du temps à m'adapter à cette vie
Sans toi je n'ai pas pu resté invaincu
Car je n'arrive pas à vivre sans toi

Tu me manques tellement que j'en pleure
Chaque soir j'attends avec impatience cette heure
Où grâce au net nous gardons le contact
Car te parler me décontracte

Ton regard de miel me manque
Tes bras réconfortant me manquent
Tes doux câlins sont devenus fantomatiques
Et à chaque clopes que je grille les larmes coulent de façons automatiques

Ma chère amie, j'espère que tu penses à moi
Car moi ici je pense à toi
L'océan qui nous sépare
Me rappelle trop souvent ton départ

Tu le sais bien je le dis souvent
Je suis le meilleur ami de tous
Mais tu es la seule qui compte vraiment
Qu'est ce qu'elle peut me manquer ta petite frimousse

Il est bien loin le temps de notre rencontre
Qui aurait pu croire que nos vies seraient écrite dans un conte
Je t'ai bien sur gravé dans le coeur
A Chaque secondes, chaques minutes et chaques heures

Sans foi ni loi
Je continuerai de crierai que
Même si le monde se met à tourner à l'envers
Si chaque secondes nous guettent
Comme si c'était la dernière
Meme si mes larmes
Ne pourront jamais l'oublier
D'une blessure à l'autre
Rien ne pourra nous séparer

Amicalement

Thomas


*Columbia University of New York

Normal que ton amie te manque , mais même l'océan ne pourra pas émousser cette belle amitié et maintenant grace au net vous pouvez vous voir ce qui avant n'aurait pas été possible

Elle n'est pas encore partie... Là est toute la différence... C'est pour septembre et plus sa approche plus ça nous fait peur a chacun d'entre nous

On ne s'adapte pas à la séparation et à la solitude quand il est possible d'accompagner la moitié de son cœur, quitte à aller à l'autre bout du monde, la terre est un petit village...
Merci pour la suite, c'est digne d'un roman...