La tristesse gonfle par trop mon coeur
quand je pense à ce qui s’est passé.
Je fais donc un effort pour l’oublier,
mais sans succès. C’est là mon malheur.
On a rompu; ce fut la seule issue.
Tu m’as accusé, tu m’as repoussé.
Enfin, ce qui m’a le plus affligé,
c’est que je ne t’ai jamais connue.
Que tu aies rejeté mon amour,
soit, tu ne pouvais pas m’aimer.
Que tu aies bafoué notre amitié,
ça m’a joué un mauvais tour.
Ce mépris me tracasse sans cesse
et il ne me reste que la tristesse.
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Freddie, Thèze - Haute Provence