Dans la grotte, ou
sous les feuilles..
pas de portes.
A ciel ouvert, l’homme.. à découvert..
l’homme à cœur..
pelote.
Quand il eu le coeur,
les humeurs.. les ennuis..
du plus simple, de toutes les sortes..
les ennuis des êtres et des choses chéries,
il eu toutes ses peurs, et.. il ‘s’obligea’ fort.
Affaibli,
il les cacha et que trop bien.. il les maintint,
mais..
à coté, dans toutes ses libertés, il en resta prévenu.
S’il quitte l’acquis,
de sa perte.. Il s’en trouverait inquiet, or..
encore et encore.. il en voulait, encore et encore..
alors.. pour de ce se libérer,
pour que dehors, encore en explorer..
Il créa la porte.
Ainsi, autrement, lui-même..
dans son avoir.. il se soumit…
De sa tête la porte fut,
autour de lui,
beaucoup d’autres encore le guettaient…
La porte enferma les ennuis de sa vie,
des porte s’ouvrirent sur d’autres ennuis.
Nulle porte n’est libre.. comme ne l’est son cœur,
Une porte se ferme, d’autres s’ouvrent sur d’autres peurs…
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( J'ai écrit ce poème comme introduction à mon article sur le thème de la porte intitulé
'La porte dans le roulement du temps'
publié dans le site :
www.Micdemboo.comet dont le lien est le suivant :
http://laguerredesmots.micdemboo.com/fr/site/oeuvre_visualiser/35294 )
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