La plaine était si vaste, le vent hurlait si fort
La brume envahissait l’espace, si dense
Et le sol craquait si doucement
Sous les pas de mon amour
Qui s’en allait, qui s’en allait
Me laissant seule, abandonnée
Dans cette vaste plaine
Où j’entends encore
Les pas de mon amour
Qui s’en allait, qui s’en allait
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Vous ne donnez que peu lorsque vous donnez de vos biens
C'est lorsque vous donnez de vous-mêmes que vous donnez réellement.
Khalil GIBRAN