Mon tendre ami, mon tendre amour,
Dans le gris de ces tristes jours,
Tes yeux sont des étoiles d’or,
Qui, dans mon ciel, brillent très fort.
Mon tendre amour, mon tendre amant,
Dans un hiver froid et glaçant,
Que ta voix douce me réchauffe,
Me murmurant de belles strophes.
Mon tendre amant, mon tendre aimé,
Oui, quand mon cœur est abîmé,
Tu viens panser mes plaies saignantes,
De tes lèvres si caressantes.
Mon tendre aimé, mon tendre ami,
Mon corps, qui s’était endormi,
Fut réveillé par les promesses
De tes mains pleines de tendresse.
Je ne sais plus comment te dire
Que je t’aime, et te faire lire
Ce que je ressens, sans détours,
Mon tendre ami, mon tendre amour.
Le 2 février 2006
----------------
Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)