Depuis longtemps déjà, la déesse du malheur,
Me hantait nuit et jour de ses chants abominables.
Ses longues ritournelles m'écorchaient ainsi le coeur,
Je vivais dans le noir, au rythme de ses paroles impitoyables.

Até, déesse pernicieuse, tu me maltraitas, me fis souffrir.
Tes malfaisances odieuses me troublèrent l'esprit,
Me remplirent de douleur, jusqu'à en mourir.
Profite de la tristesse des mortels, car bientôt ce sera fini.

Ainsi me suis-je battu, défendu contre mon amour perdu,
Et dans les ténèbres la déesse retourna, dans un ultime cri,
Rejoignant le rouge flamboyant de sa perversité tant connue,
M'apportant enfin l'amour, celle que je cherchais : ma chérie!

Até vaincue, je m'approchai de toi, douce nymphe Flora,
De tes fleurs qui enivrent mon coeur jour après jour.
Oui ma douce princesse de nouveau il bat,
Et tant que tu seras là, il battra toujours.

Les anges nous entourent, ils sourient en voyant,
Ces sentiments si doux que nous donne le printemps.
C'est pourquoi enfin, je te demande solennellement,
Si par cet anneau tu souhaites, qu'il dure éternellement.

Fabien C.
27/04/2009

Fabien,

Je suis un peu comme toi aujourd'hui :
Tout arrive à qui sait alors attendre
Et je vois le bonheur qui te sourit
Grâce à ton âme de coeur tendre...

Bien joli poème et que ce bonheur te suive le plus longtemps possible !!
Michel

que ce bonheur retrouvé dure éternellement

Très beau poème

Tristesse oubliée
Et ses brumes pleureuses
Deviennent bonheur retrouvé
Avec fées chaleureuses !
Merci pour ce beau poeme !