Souvent par dessus mon cottage:
Le firmament baignait dans l'éclairage
Et moi au sein de mon cottage
Je songe sans ambages
A cette bourrasque empreinte de rancoeur
Qui a traversé le seuil de mon coeur
En ramenant une grandiose ondée
Qui a coupé les ramailles de mes pensées
En gâchant toutes les ravissantes roses
Qui agrémentaient les bordures de mes rêves
Tout est devenu maussade, morose...
Même les bourgeons fertiles de mes espoirs
Sont devenues des fétus minables et noires
Je songe encore sans trêve
A cette tempête qui avait traversé mon rêve
Qui avait secoué mon coeur endormi
Dans le grabat intenable de l'ncurie
----------------