TOI MON REVEUR CHEVALIER...
Un vol d’oiseaux
S’orientant vers les beaux
Nuages de l’amour,
Comme nuages d’un jour.
Je croyais fermement
Au Paradis d’antan
Il me fallut clairement
Croire au monde de cet an.
A cette heure,
Mes larmes sont lourdes
Et leur demeure
S’effondre sourde.
Je ne connaissais pas
De copains.
Mes amitiés n’étaient que le trépas
D’une vie de chien…
C’est pourquoi ton rêve,
Toi le fier chevalier,
Faisait trembler mon rĂŞve,
Et… je ne fus plus jamais à lier.
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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".