M arier la muse à l’histoire
A vais-tu eu Maurice le pourboire
U nanime, partisan, universel ?
R egard posé sur le temps
I l est vrai de ceci peu longtemps
C hacun de tes mots avaient le sel
E ternel, poivre et sel.

D iable ou ange,
R iche ou pauvre,
U n seul « maux » : l’autre…
O n n’oublie pas ton chant aisément.
N ous sommes là tristement.

Alejandro

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

un bel hommage en acrostiche

Merci Alejandro !

Magnifique hommage à ce poète qui vient de disparaître ! De ta belle plume je lis ce que mon cœur pleure de sa perte ! Ainsi s'en vont les poètes restent les écrits ! :

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.

il est vrai qu'il avait l'envergure d'un Victor Hugo et qu'il est entré dans la postérité grâce à "son chant des partisans". une oeuvre magnifique à écouter et réécouter.

Alejandro.

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".