La nuit pleure sa vie
Comme une fontaine,
Diffuse ses larmes à l’envie,
Dans le désert de la calembredaine.
Le monde meurt
Et l’homme crache encore.
Sa folie lui engendre un heurt
Et sur le monde il crache encore.
Quand donc cessera
Cette dégueulasse pollution ?
L’homme ne cessera
Il usera de la persécution !
Et nous les enfants
Du Globe terrestre
Serons-nous assez bons-enfants
Pour dire « Merde ! » à l’orchestre
De la mauvaiseté
A l’image
De la fausseté
Au dernier jour de notre âge ?
Alejandro
(est-il trop tard ? je n'ose y croire...)
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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".