J´aime et je me permets cette liberté là puisque ce soir nous décidions de ne pas oublier.
T´en souviens-tu ? (sourire)
Peignez-vous, là -haut, murmure au silence
Lourd au coeur de Guite, comme se dit la messe,
L´arc d´ange,au reflet de votre élégance,
Tel, posé un dôme à l´âme détresse ?
Elle attend, espère. On vous imagine,
A la toile du ciel, mettre un peinture
Où votre art épouse tout ce bleu marine
Qui manqua aux deux soeurs à l´instant rupture.
Et la dame veille, sur l´autre et sur l´une,
Elle entend vos rires de petites filles,
Ceux qui ont soupirs de ce qu´est fortune
Tant, des cieux à ici, ils n´est pas de grilles.
D´absence présente, montrez-lui ce signe,
Elle le veut toujours, à l´orbe d´Uranus,
Ce minuscule trait, un point, cette ligne,
Qu´elle soit bergère, vous... D´étoile Vénus.
La coupe, mi-pleine, tenue à votre main,
Est sa part à boire, d´abeille l´aneth.
Un long regard amour, riche à son lendemain,
Vous fait, de deux beautés : une... Elisabeth.
E viva la libertad !!!