Oui! J'aime à regarder ces grands oiseaux de mer
Lorsque au ras de l'eau ils passent et repassent
En quête de leur pitance faite de poissons et de vers
Qu'ils cherchent dans la vase, aux heures de marée basse.
Maintenant, de plus en plus, ils vivent sur les villes
Trouvant dans les ordures le repas succulent
De se le procurer il est bien plus facile
Que de voir au fil de l'eau un hypothétique merlan.
Non! Je ne suis pas d'humeur méfiante
Quand ces bestioles planent au dessus de mon toit
Mais qu'elles souillent mes vitres de leur fiente
Un tel sans-gêne me laisse tout pantois.
Puis quand elles évoluent, la nuit, dans les nuages
Poussant des cris aigus, comme des enfants qu'on fouette
Tellement exaspéré d'entendre si grand tapage
Qu'a mon tour je veux crier , enfin*
Vos gueules les mouettes.

c'est vrai que c'est mieux de les voir au bord de la mer , c'est plus leur habitat mais si ils n'ont plus de poissons ............................

J'aime bien c'est plein d'humour...

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Bonjour ROKY, Bonjour O Maley, les goélands étaient autrefois les éboueurs des mers ils se nourrissaient des cadavres qui flottaient, tout comme les corbeaux le font sur terre et ces derniers sont en voie de disparition, nous n'en voyons plus guère
dans nos campagnes , quant aux goélands peut-être vont -ils au plus facile c'est pourquoi nous en voyons tant dans nos villes
et comme ils sont protégés c'est la grande vie et ils nous le font entendre, j'ai écrit ce poème sans arrière pensée ,merci de votre commentaire .Mes Amitiés

tu me fais rire mon Monsieur Grognard
vos gueules les mouettes....

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.