Je devine ta présence
Dans les traits fins de la solitude
Cousus à l'orée de la foule joyeuse des beaux voeux absents.
Je devine ton silence
Dans le chant des noeuds du vent
Pendu aux branches des arbres désertées des becs exilés du nid.
Je devine ta patience
Sous la chaleur du soleil luisant
Enterré la nuit tel un rêve d'aimer absorbé par des vagues de chagrin.
Salut Kader, j'ai beaucoup aimé ta poésie mon ami
Kader...