Toi, tout là bas et moi ici,
Les corps perdus dans l’espace,
Ton cœur et le mien, si unis,
Nos âmes ont trouvé leur place.
Sur deux chaises longues de l’été,
Offertes aux rayons du soleil,
Etendues et abandonnées,
Au bonheur de l’autre, veillent
Invisibles et impalpables
Elles se devinent et se touchent
Sur une toile ineffable
Où se rejoignent nos bouches
Des baisers dans l’immensité
S’inscrivent dans notre histoire
Autant de pages de beauté
Que de réveils de nos espoirs.
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