c'est curieux la différence entre les chefs d'orchestres, certains semblant être à une représentation théatrale par l'ampleur de leur gestes, qui permettent toutefois au spectateur de mieux saisir parfois le génie de la musique jouée, et d'autres si minimalistes, presque immobiles, qu'on pourrait croire devoir retirer sans dommage, mais qui montrent combien l'osmose antre les musiciens et le chef peut n'avoir pas besoin de signal, être comme une transmission de pensée instantanée, entièrement dévouée à la gloire de la musique et du compositeur et non de ses exécutants.
un beau poème que j'apprécie particulièrement.
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)