Elle l’avait abandonné,
Dans le feu des canons,
Pour un monde en paix.
Leur douce passion,
Allait être sacré en janvier,
Par un enfant envié,
Aux milles sourires.
Puis par la fumée noire,
Elle perdait l’espoir,
D’un jour le revoir.
Il y eu cette naissance,
Venu d’un homme au paradis,
Et cette déchéance,
D’arrêter sa vie.
Pourtant cet enfant,
A besoin d’une mère,
Même seule…
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"Le rêve est la vapeur de la pensée !" Hugo