Alain Baschung...
A vant de nous abandonner,
L ibéré de ta souffrance,
A lain, tu nous avais donné,
I llustre, ton amour comme délivrance.
N ous savons aussi que tu nous as « pardonné »…
B erger au Paradis,
A lain y aimes-tu ta nouvelle vie ?
S ais-tu que le « Para-y- dis » ?
C hez-nous c’est de plus en plus la grande connerie.
H achichés par la folle ineptie
U niverselle de « nos grands », leur folie
N oies de plus en plus nos cris.
G agne ta nouvelle vie Alain, car elle est très jolie.
Alejandro.
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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".