alger le 21/12/2008
Souvenirs encore vivants (dedicacé a Frisson-Morwena et Roky59)

Je ne veux pas rêver
J’ai peur de m’endormir.
Un jour je retournerai
Dans ce coin mourir.

Du devoir, pour m’acquitter
J’ai sauté dans le premier train
Les amis qui m’abritaient
Tristes, me serrèrent la main.

On a passé de bons moments
L’attention portait son nom
Entre-nous calmement
L’espoir n’avait pas de prénom.

On a connu tant de scènes
Soulager bien de peines
La culture était notre reine
La religion, à chacun la sienne.

On ne mélangeait rien
Le devoir nous orientait
Blanc ou brun, le lien
Dans le sang nous, guidait.

On avait, tout juste, un brin
Les sentiments suffisaient
Sans cesse, rien que le tien
L’amitié nous avait fidélisé.

Dans le respect, bien de solutions
Cinq cultures et trois religions
Autant de pensées que d’éducation
Différents étaient, pays et régions

C’était il y a longtemps
Aujourd’hui que du vent
Deux frères, tout en sang
Dans un monde rampant.

Mouloudi Mustapha

merci mon ami, je suis très touchée par ta belle dédicace , un partage de bons souvenirs

Merci à toi d'avoir partagé ce bel écrit avec nous; amitiés.
Jean-Paul.

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Vivre ses rêves

Un grand merci pour cette dédicace parlant du temps où l'amitié sans frontiére existait.
Mes amitiés
Bisous

Morwena

mon ami que dire de plus de tes mots semés par ta plume ?
merci cher toi pour cette belle dédicace qui m'émue

alors je t'offre ces mots...



Elle étrangère
Lui curieux
Elle passagère
Lui amoureux

Ils forment un noyau
Ils établissent un joyau
La lune est pleine
Leurs yeux sont sans haine

L’amitié est en eux
Ce que le ciel a du bleu
Leur tendresse se fait écho
Dans un monde très beau

Ils aiment le partage
Ils partent sans langage
Seul leur cœur qui est vrai
Semant le bonheur ici tout près

Ils aiment les gens
Ils sèment le beau temps
Elle aime la douceur
Lui nous offre du bonheur !

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

bonjour
merci pour avoir partagés avec moi ces moements de joies et de bonheur que nous ressetons à chaque connection...
en verité ces vers décrivent une réalité qui date des années 68/69/70 entre paris et bien d'autres grandes villes de france...
encore une fois merci.. et a bientot..
fraternellement mouloudi