Sans doute ai-je été zazou
Dansant gaiement et un peu fou
Juste avant j’avais fait la guerre
Résister ne me fut pas mystère
Sourire aux lèvres fleur au fusil
Et cette femme en plein Paris
Elle me donnait petits colis
Nous mutinions dans son grand lit
L’inconnue de Ménilmontant
Quelle chance je fus son amant
Sans doute ai-je été Pharaon
Et bâtisseur de pyramides
On me nommait Akhenaton
Et mes pensées étaient torrides
Lorsqu’arrivaient jeunes esclaves
Je les trouvais toutes à mon goût
Nul besoin de réunir conclave
Leurs corps de lianes me rendaient fou
Sans doute ai-je été un chef de clan
Un indien fier plumes au vent
Volant au gré de grandes plaines
Mes squaws riaient malgré les haines
Le Grand Esprit guidait ma voie
Et ma fumée oui c’était toi
Jeune captive aux cheveux roux
En mon tipi nous étions fous
Sans doute ai-je été un poète
Nous vivions au gré de nos fêtes
Toi ma muse ma sœur ma vie
Mona-Lisa aux mille envies
Oh ma complice oh ma déesse
Tu nous transportais d’allégresse
En d’autres vies tous nos possibles
Devenaient lumières et réels
Aujourd’hui je te veux celle
Qui lira tous mes invisibles
Nous ne vieillirons pas ensemble
Le temps déborde mais il bat l’amble
Et ne serait-ce qu’un mirage
Nous aimerons comme d’un seul âge.



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Rose est folle, là voilà qui parle en langues et reçoit messages d'autres voix!!!!

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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."

Racine, "Phèdre"...

Un poême original et bien mené qui me fait penser aux âme voyageuses .
Vos mots nous accompagnent á travers les temps et les lieux , j'aime cette évasion .

Merci, Sandrine, moi aussi j'adore VOS voyages dans les temps et à travers LUI!!!!!!



Amitiés d'un dimanche de pluie!!!:::)))

Scarlett, qui court avant la plage.-mais si, je vous jure, l'été reviendra!!!! Et d'ici là, à nos abdos!!!!

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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."

Racine, "Phèdre"...

Se mettre dans la peau de personnages masculins et chanter l'amour et la bien-aimée au masculin,je trouve cela original de la part d'une femme pour qui ,il est plus facile,de rêver de l'homme ,au féminin!J'aime tes folies et ton imagination sans limites ni fin!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

,Sourire aux lèvres fleur au fusil

un sourir de monalisa qui capte l'attention de "notrehomme"

youjour ma poétesse adorée
bisou
houria

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Aimer jusqu'à la déchirure Aimer, même trop, même mal, Tenter, sans force et sans armure, D'atteindre l'inaccessible étoile.

.(jacques brel)

Oui, Scarlett l'infinité génalogique des possibles est heureuse, tout comme toi onirique, amoureuse, et heureuse de l'être en projection à tes côtés, concrète, superbe, à profusion, passionnement.

Sourire aux lèvres fleur au fusil
tant qu,a y être en bas de laine au lieu d'en bas de zéro...

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Coucou Scarbine !

Ca y est ! Là tu débloques ! Zazou...ou Zinzin....à toi de voir !

En tout cas...ça te va bien ! Ta plume ne faiblit pas, bien au contraire ! Toujours fraichement coupée, comme les fleurs du marché à la première heure du matin.... ! On les voudrait toutes à la maison.... tellement elles sont belles, colorées, gaies....

Bisous ! ....Foldingue !

Albatros

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De la musique avant toute chose (Verlaine)
Là tout n'est qu'ordre et beauté
Luxe calme et volupté (Beaudelaire)

Mon Mos, douce Houria, Renée Maria Chapdelaine, Marie mon oiselle de bonne augure, et Mister President Traper:

MERCI d'avoir dansé avec mon zazou!!!!!!

Scarlett, y a d'la joie!

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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."

Racine, "Phèdre"...