(poème que j'avais proposé dans la rubrique "concours" du mois de décembre).
Les sons du cor et les aboiements,
Tirèrent la forêt de son silence,
Impuissante conte la providence,
Elle cachait au mieux ses habitants.
Mais les premiers envols et l'odeur,
Alertèrent bien plus tôt le vieux cerf,
Qui sut prendre commme précurseurs,
Ces signes violant sont sanctuaire.
Déjà , les chiens se rapprochaient,
Leur maître cette fois sur leur talons,
Excités, impatients, tous l'étaient,
Car la mort pointait à l'horizon.
Ayant maintes fois remis en cause,
Son rang au sein de la harde,
Le certf ne s'octroya aucune pause,
Ses bois forçant la mise en garde.
Mais ce sera son dernier combat,
Et il regretterait la forêt,
Dans laquelle avaient percés les bois,
Qui aujourd'hui l'auréolaient.
En ces démonstrations cruelles et viles,
Je ne vois nulle trace d'intelligece,
Au nom de quel idéal imbécile,
Peut-on justifier pareilles souffrances ?
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