* Ce texte est plus ou moins poétique*
Il Ă©tait un jour de belles et grandes Ă©tendues
Que les hommes du vieux monde ignoraient
Puis vinrent les jours de la grande découverte
Vers ces espaces d’une si grande beauté
Deux vieux pays s’enlignèrent dans une course
Des bateaux flottaient comme voiles vite poussent
Plantèrent leur croix sur nouveau sol comme possession
Sans demander aux Iroquois Ă qui est la maison
Pour la France ou l’Angleterre morceaux de sol découpé
Le tout après le sang de viles guerres car avide de posséder
D’un coté reste Molière puis de l’autre rie Shakespeare
On appela frontière les relents de leurs délires
Et qui sont ces gens atroces après tant de ces années
Qui dans la boue et par leur forces ont bien que mal subsister
Ils sont vos pères et vos arrières grands-mères
Du sang qui coule des vieux pays
Des noms qui dans nos cimetières
Feraient de vos visages peau rougie
Comment oser sans même connaître un peu l’histoire d’une nation
Porter un glaive et une rage pour Ă©lever vos ambitions
Dans les années qui ont suivies
Peuplades de partout! De ces vieux sols ont envahies
Fuyant les guerres de vieilles terres espérant une meilleure vie
Les bras ouvert se sont bâtis les remparts de nos nations
Et sachez là -bas que gens d’ici ont la culture
Bien au-delĂ que laisse croire vos horizons
Sachez messieurs! Les monstres de ce nouveau monde
Ont l’Adn empreint de vos anciens démons
Je hausse haut ma voix sur qui jugez l’humain
Car ces paroles d’effrois ne valent moins que rien
L’homme de tout les âges est à jamais pareil
Cessez! Donc la rage et de parler ce vent malsain
Moi personnellement mes origines remontent de plus ou moins loin à La France, l’Irlande et les Cheyenne et nous sommes tous pareil en Amérique. Rien qu’un beau mélange de tous ce beau monde. Et qui es pur?? Et qui es impur? Foutaise!!!
Il y a des fous partout et des bonnes gens aussi! Quand est-ce que vos cerveaux comprendront qu'il n'est ni meilleur ni pire dans la chair tout est pareil.
Johanne
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