Tu m'as vu désespérer
Et tu as pris ma main
Pour me guider sur le chemin
Juste devant moi d'énormes épicéas
Tu as vu mes larmes
Tu les as essuyé par le vent d'été
En me montrant l'éternité
Les coquelicots portent mes aimés
Tu as senti mon coeur malade
Avec soin tu as pris place
Dans ce petit coin d'espace
Ou la rivière de sang se change en océan
Tu as vu mon âme désemparée
Tu as su me libérer des entraves
En chassant tous mes nuages
En dessous un arc-en-ciel défie l'orage
Tu m'as réconforté enlacé
Je t'aime pour tout ce que tu es
toi, la divine Nature qui m'a tendu la main
Arlette Philbois
le 18/08/2008
Bonne journée à tous
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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.