Je tends ma main à la mer très agitée,
Qui son flot immense à la fois agressif et offensif
Donne des impressions de frayeur et de soulagement
Au large, loin de la terre, on se sent à l’aise,
Pas de vacarme, ni de terribles falaises ;
Qui peuvent interrompre ce bel accompagnement.
Dans mon embarcation, seul avec les mouettes,
Qui couvrent le ciel bleu avec leurs ailes ;
J’admire cet univers morne et calme.
L’eau salée fait de jolis bonds mousseux
Puis s’agite en te souhaitant la bienvenue
Dans son monde plein de mille merveilles
Je vis comme un oiseau migrateur cherchant la chaleur
Mais, viendra un jour, où il doit regagner son nid de valeur,
Chacun de nous a la nostalgie de ses propres racines.
On ne peut pas vivre loin de son environnement.
AHMED MOUDRIKAH
MAROC
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la vie n'est qu'un voyage dans le temps et l'humanité n'est pas éternelle Soyons donc optimistes