Au bord de la nuit tiède,
Le songe de ma dernière fête,
Bat mystérieusement la tempête,
Sur la lisse page d'hier.
Dans le parfum froid et glacial,
Tremblait doucement un nuage,
En composant le "T" initiale,
L'espoir d'un enfant sage.
Quelque chose dans l'oubli,
Une branche de cerisier rose,
Je n'ose la mettre à mon habit,
A l'instant même il explose.
Le rêve d'une deuxième vie,
Qui nous emporte au lointain,
En lui on se confie...
Pour trouver notre demain.
Arlette Philbois
le 05/06/2008
Bonne journée
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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.