Monde dans un monde en partance
vers cette galaxie qui nous habite
comme un refuge aux turbulences
qui rappelle que le bonheur existe
C'est un peu de poussière stellaire
qui se dépose sous nos paupières
c'est le souffle des espaces infinis
à travers les forêts de cèdres verts
C'est comme une main qui retient
comme un parfum, une invitation,
on sent en soi une transformation,
une renaissance, un premier matin
On est aussi léger que ces particules
celles qui tournoient dans la lumière
on passe facilement l'autre versant
on se laisse emporter par le courant
On devient la plume qui écrit le destin
l'oiseau bleu guidé par l'invisible main
qui nous attend pour tracer le chemin
dans le mariage du silence et du vent...
Sylvia, D'un voyage à l'autre...
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Laissez l' esprit prendre toute son ampleur