Du haut de la falaise,
Un cours d’eau ruisselle.
Descendant la pente raide,
Durant son long voyage ;
Elle emporte les pierres, les branchages,
Et les algues sans épines.
Son murmure avec son charme magique ,
Rend les âmes enivrées non remuées,
La rivière continue son chemin.
Fièrement elle bougonne,
Sans penser au lendemain ,
Où tout le monde va rêvasser .
Voici une truite pleine d’entrain qui se traîne,
En compagnie d’une insolente carpe ;
Douce mais très vilaine.
Au loin « martin pêcheur »fauché ; perché,
Les dégote d’un air mépris ;
Mais leur odeur le rend amplement épris.
Elles qui durant ce doux silence,
Exécutent une très belle danse :
Enjouées elles brisent la colère,
De leur façon, de leur manière ;
Et d’un élan comme l’éclair.
« Martin-pêcheur » subit son plongeon !!!
La pauvre carpe à l’intérieur du long bec vibrait…
En voyant ce cauchemar de spectacle ;
La truite fredonne de peur sans attrait.
AHMED MOUDRIKAH
MAROC
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la vie n'est qu'un voyage dans le temps et l'humanité n'est pas éternelle Soyons donc optimistes
