Naissance.
Tout rose dans les langes de son innocence
Mon petit bout d’être souriait en grimaçant
Et mon cœur fond frémissant de réjouissance
Pour cet être minuscule pour ce souffle naissant
Un bout de vie qui épanouit ma tendresse
Des yeux daltoniens qui devinent ma rougeur
La peau diaphane la nature des délicatesses
L’effleurer à peine est un singulier bonheur
Bébé de jasmin et tous parfums confondus
Ivresses olfactives de humer l’arôme pureté
Renaissance d’un cri nouveau tant attendu
Continuité reproduite sentiment flou de fierté
Petit à petit j’ose à peine te pendre dans mes bras
Et je ressens ta chaleur innocente qui me flaire
Tu souris je devine notre complicité qui viendra
Mamy câlin et petit fils malin dans leur univers.
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MB CANDIDE