Tristesse de jeunesse.
Jeunesse.
La main sous le menton tu es triste et errante
Jeune soucieuse qu’est-ce qui te préoccupe tant
Ta jeunesse te perturbe ou du t’engages à prévoir
Un avenir vermeille une expérience ancestrale
Une exubérance unique un bonheur théâtral
A vingt ans doit –on craindre l’imprévisible
Au printemps de l’âge faut-il être susceptible
Ta jeunesse à elle seule est une bénédiction
Ta vigueur dépassera les soucis de déperdition
Si jeunesse savait ce qu’elle s’impose inutilement
Elle rirait d’elle-même et repenserait ces moments
Je sais tu n’écouteras personne comme je l’ai fait
Les soucis de la jeunesse un gage de temps forfait.
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MB CANDIDE