Alger le 27/03/2008
L'affidé
Début de l'infernal
Les pieds plats
Tout au bord du canal.
Contant son mal

A-t-il mal agit
En usant son mat?
DO, RE, suit un MI
FA, SO, la SI aussi.

Encore une nuit
Le silence est là
Le noir à l'infini
Qui attend prie.

Simple oubli
Il n'y croit pas
Encore des ennuis
Dans cette folle vie.

Qui lâche, détruit
Dur reste le bas
Pour toute sortie
Le voilà indécis.

Est-elle repartie?
Bientôt il le saura
En ouvrant le plis
Son destin y est écrit.

Mouloudi Mustapha

mon ami
un tres bel écrit
mais je sens ta plume un peu triste
n'est ce pas ?

je suis la mon ami !

bonsoir et merci

la tristesse est redevenue ma deuxième partie...
ces quelques vers ne sont pas le résultat d'une simple imagination. ils sont bien ce qu'ils sont et traduisent au mieux ce que je souhaiterai n'être qu'un passage pour ceux qui le vivent...

de nos jours aimer est devenue un luxe ...

fraternellement mouloudi

j'espère que ce n'est pas un mauvais destin qui y est inscrit

bonjour

lequel d'entres nous ne veut pas broyer le destin lorsque celui le prend de court?
Fraternellement mouloudi

Coeur lourd de tristesse mais ô combien noble de sagesse .Bel écrit merci

je ne pense pas que tu sois un passage, tous passons par de bons et mauvais moments dans la vie mais l'espoir il faut garder, je lis souvent tes poèmes et je lis un être au grand coeur qui aime plus qu'il ne s'aime, amitié sincère jess

bonjour
merci pour es commentaires qui ne sont en fait plus un témoignage d'amitié qu'un simple encouragement. Ces derniers moments je traverse une période difficile avec e coeur qui veut me lacher...
s'il n'y avait pas vos messages et ceux de certains lecteurs (internautes dans mon courriel) Je ne sait si je ne ferai pas une betise en me retirant de cette scène (ce coin) que les uns veuillent une jungle et les autres tout simplement une arène remplie de gladiateurs...
enore un fois merci
fraternellement mouloudi